L-E-M
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
L-E-M


 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

 

 ma description

Aller en bas 
AuteurMessage
nerull
zombie de l'ile des 5 sages



Nombre de messages : 6
Date d'inscription : 28/07/2006

ma description Empty
MessageSujet: ma description   ma description Icon_minitimeSam 29 Juil - 2:04

ma description, pour les courageux. Et encore, il en manque pas mal, mais j'ai pas jugé bon de tout mettre, c'est déjà assez long comme ca ^_^. Ne pas croire que j'ai écrit çà d'un coup -_^


L’histoire commence dans un oasis du désert de l’île qui s’appelle aujourd’hui île des cinq sages. Nous sommes en des temps reculés, ainsi cette île ne portait, à cette époque, un tout autre nom. Mais le nom de l’île a été perdu, ainsi m’est-il impossible de le redonner ici, de toute manière, cela n’a que peux d’importance dans l’histoire qui suit. Dans le ciel au dessus de l’oasis, une quantité innombrable de Vautours planaient, masquant presque entièrement le soleil. L’oasis lui même n’avait plus rien de vivant : les arbres finissaient de se consumer, et l’on pouvait voir les restes de ce qui devait avoir été un grand campement. L’objet convoité par les vautours était des plus évident : l’oasis était jonché de cadavres d’hommes, de chameaux et de chevaux. Une bataille avait eu lieu à cet endroit la nuit précédente. Quel que soit le nom de l’agresseur, il avait été d’aucune pitié, n’hésitant pas à massacrer femmes, vieillards et enfants, en plus des très nombreux hommes valides du campement. Dans cette atmosphère de mort, un homme, âgé, avançait vers le centre du campement détruit. Il était apparemment arrivé après la bataille, et ne semblait gêné ni par le bruit assourdissant des oiseaux, ni par la puanteur de la chair brûlée, ni par la vison de plusieurs milliers de cadavres. Arrivé au centre du campement, l’homme s’arrêta, et se pencha vers un cadavre à côté de lui. C’était le cadavre d’un des nombreux soldats du campement, et il était apparemment mort dès le début du combat, transpercé par une flèche au front. L’homme retira la flèche du cadavre, puis posa son sac au sol. Il en sortit quatre braseros qu’il posa autour du corps. Durant deux heures, il prononça une incantation dans une langue aujourd’hui disparu. Sa voix était grave et très sur de lui. Malgré la chaleur accablante du désert, et les vautours en train de festoyer tout autour de lui, y compris sur le cadavre qu’il avait choisi, il continuait sa litanie, imperturbable. Enfin, il se retira, non sans reprendre ses braseros. Il alla vers le petit lac au milieu de l’oasis et bu de son eau, même s’il ne pouvait pas ne pas avoir vu la masse de cadavres qui y flottait. Cette erreur, si ça en était une, lui fut fatale : l’eau avait évidement été empoisonnée par les cadavres, et il en mourut.
A sa mort, quelque chose d’anormal se produisit : il disparut, sans laisser aucune trace, comme si il n’avait était qu’une illusion.
Pendant des années et des années, les corps restèrent là et finirent par être enfouis sous le sable.
Un jour pourtant, des « architectes » comme ils aiment à s’appeler, virent sur les lieux, et firent, comme à leur habitude, des fouilles. Aucun ne revint jamais à la civilisation.
Mais revenons maintenant en arrière, et regardons ce qui est arrivé au cadavre qui a subit ce traitement si particulier. Quand, à la tombée de la nuit Vanilius vint faire son office, il ne put s’occuper de ce cadavre, et laissa donc son âme à l’intérieur. Enfoui sous le sable, l’âme n’eut néanmoins l’occasion de rien faire durant de très nombreuses années.
Néanmoins, quand les archéologues sortirent de sous les mètres de sable la dépouille étrangement conservée par rapport aux autres corps de l’endroit, ils réveillèrent l’âme, et le corps dans lequel elle logeait par la même occasion. Ce dernier se fit un plaisir de les tuer, avec la pioche de l’un des archéologues. Le guide des archéologue s’enfuit en courant, en criant « Nerull !!! Nerull s’est réveillé !!! Le malheur est sur… » une pioche lancée par le revenant se planta entre ses deux omoplates, l’empêchant de finir sa phrase. Depuis, c’est ainsi que l’on appelle cette âme errante qui fait de nombreuses victimes dans le désert de l’île des cinq sages.
De son côté, Nerull, puisqu’il faut l’appeler ainsi, cherchait, jusque là sans succès à savoir qui il était, ou même qui était ce Nerull dont parlait les locaux, bien trop rare en ces temps troublés (ils étaient tous cloîtrés dans les villes, et des aventuriers arpentaient le désert en quête de gloire –ou de mort-). C’est là que s’arrête pour le moment mon histoire, je m’ai pu collecter d’autres informations sur cet étrange cas


Cela fait quelques temps que je n’avais pas pris la plume…c’est que j’ai eu bien du mal à mettre la main sur ce fourbe de Nerull… et encore plus à le questionner…j’ai du puiser dans les arts les plus noirs, avoir recours aux infamies les plus grandes, j’ai même du trahir la brigade…Mais ça, personne ne le sait, du moins j’espère. J’ai opéré depuis Gathol, dans la discrétion la plus absolue. Mais la fin justifiant les moyens, j’y suis arrivé. J’ai percé les ultimes secrets de ce démon de l’autre monde. Si l’on m’en laisse le temps, plaise aux dieux du chaos que ce soit le cas, je pourrais le renvoyé d’où il vient, et mettre fin à sa non-vie…
Durant les temps qui suivirent sa sortie à la surface, dans les circonstances que l’on sait, Nerull parcouru d’abord l’île, à la recherche d’indices. Il interrogeait tout les gens qu’il croisait, mais ces derniers ne lui apprirent rien…je suppose qu’ils ne savaient rien de son histoire - de son passé sanglant et meurtrier devrais-je dire.
Un jour, pourtant, il appris de la bouche d’un aventurier malchanceux l’existence de Gathol - Que j’aurais préféré que cet aventurier meure plus vite ! – il appris en même temps l’histoire du seigneur sombre, qui gouvernait Gathol il y a 1000 ans, et qui était réputé pour ses crimes… qu’il allait jusqu'à commettre sur l’île où Nerull a perdu la vie. C’est pourquoi Nerull partit vers Gathol.
Mais cette découverte lui avait pris du temps, et le soleil tapait fort sur l’île des sages, ce qui fit perdre à notre zombie quelques uns des rares lambeaux de chair qu’il lui restait. Son apparence ne manqua pas d’attirer l’attention des chasseurs de démons, qui se firent un devoir de l’attaquer, dans la plaine entre le château royal et Sarosa.
Nerull pliait sous les assauts répétés de ses assaillants, mais ne pouvait mourir. Mais il été submergé, et ne parvenait qu’a en envoyé très peu dans l’au-delà. A un moment, alors que de plus en plus de morceaux de Nerull étaient éparpillés, une compagnie de démons se lança sur les gardes, les mettant rapidement en déroute. C’était l’avant garde des forces de Démonio, la Royal*Veangeance. Ces derniers prirent soin de Nerull, et recousirent les morceaux de Nerull. Ils lui proposèrent alors de les joindre dans leur tentative de destruction des forces du bien, ce qu’il accepta.
Durant de longs mois, Nerull s’entraîna et combattit aux côtés de ses nouveaux alliés, liant connaissance, et se forgeant pue a peu une réputation – pas des pires, mais loin d’être des meilleures – mais un jour, il y a peu de cela, tout s’accéléra, ce qui m’a obligé à passer l’acte : Nerull fit la connaissance d’une demi-vampire versée dans les arts occultes, à un degré déjà élevé, répondant au nom de Sabin-Démonia, qui lui proposa son aide, sans que je ne puisse percer la motivation de ses actes.
Grâce à un rituel complexe, je ne dirait juste qu’il était composée d’une invocation de pentagramme et d’une imposition des mains, sans révéler la formule, car je ne désires pas que d’autres gens la connaissent, les nécromants qui y ont recours sont déjà bien trop nombreux, Sabin permit à la décomposition de Nerull de s’arrêter.
Mais la vampire ne s’arrêta pas là : comme la mémoire de Nerull lui restait inaccessible, elle partit tuer le ver des sable, fléau de l’île s’il en est, et, en combinant son sang puissant et celui de trois innocents, elle imposa un autre sort à Nerull. Le rituel, là encore des plus complexe, même bien plus complexe que le précédent, et encore moins utilisé, il était même au delà de mon entière compréhension, avait pour but de restaurer dans Nerull et son aspect et sa mémoire. Sa réussite ne fut que partielle – mais, hélas, déjà trop aboutie :
Elle permit à Nerull de recouvrait sa forme originelle, celle de l’adolescent de 16 ans tué il y a fort longtemps, ainsi qu’une partie de la mémoire de deux individus.
C’est cette mémoire qui m’obligea à passer à l’action : Il revient à Nerull des faits de son passé d’Ouzberg, peuple nomade du désert, notamment le moment de sa mort, quand des hommes en armure massacrèrent son village, sans laisser de survivants, au nom d’une cause inconnue, ainsi que d’autres moment de son enfance, difficile, mais où il appris les bonnes valeurs. Mais il recouvra aussi la mémoire du vieux sorcier qui mourut peu après lui, dans les circonstances que l’on sait – j’ai eu connaissance de ces faits forts reculés grâce à un oracle, qui mourut en me révélant l’histoire – et qui était en fait le seigneur sombre mentionné précédemment. Ces souvenirs là son la cause de mon tourment. Et la cause de toutes mes fautes. C’est la cause de ma dérive. J’espère que Worf me pardonnera.
Consigné dans la ville de Gathol, le Zanda 20 Persu, a l’heure du couchant.


C’est la première fois que j’écris. Enfin, la première fois depuis 1000 ans – depuis ma mort. Si je n’écrivais pas, c’est que je ne m’en sentais pas le besoin. Mais l’aventure que j’ai vécu avec Sabin hier soir est telle que je ne peux que vous la conter.
Cette aventure commença hier. Par le plus grand des hasards, j’errais dans le manoir de Drake, perturbé par le comportement de Sabin lorsqu’elle m’avait retrouvé…pourquoi m’avait t’elle serré dans ses bras ? Et comment avait-elle pu battre ce nécromant alors que sa magie m’avait réduit à néant en un temps record. Il se disait habité par un dieu…Elle aurait vaincu un dieu pour moi ? Ou a t’elle trouvé cette force ?.
Je disais donc que j’étais dans le manoir de Drake quand soudain j’entendais des sanglots en provenance d’une chambre. Persuadé d’y trouver une pauvre victime à égorger, j’y entrais. Quelle fût ma surprise lorsque je me rendis compte qu’il s’agissait de Sabin ! Elle était avachie sur une chaise, de grosses larmes coulant le long de son visage blanc comme neige. Je l’appelais, mais elle ne répondit pas, trop absorbée qu’elle étais dans sa mélancolie. Je m’approchais alors, mais, dès qu’elle me vit, elle tourna la tête, et s’enfuit en courant. Je ne compris que plus tard ce qu’il lui arrivait, en y réfléchissant après coup. Je la suivait le long des couloirs, quand soudain elle invoqua un cultiste. C’était avec ce genre de pouvoirs qu’elle avait vaincu le nécromant ? Quoi qu’il en soit, l’invocation disparue à mon premier coup d’épée. Elle continua de s’enfuir, et, cette fois, invoqua un familier. C’était visiblement un démon mineur, mais il échappa à son contrôle, et l’attaqua elle. Elle sombrait visiblement dans la folie…c’était la seule façon d’expliquer ce non contrôle. Elle sombrait tellement dans la folie qu’elle tenait un discours insensé…je ne compris que, entre deux sanglots, « amour », « toi », « déteste » et « meurs ». Après avoir dit cela, je restais pour ma part muet d’étonnement, elle s’enfuit en courant. Je la suivais encore, décidé à comprendre ce qu’il arrivait à celle qui m’avait sauvé. Elle se retrouva finalement dans la bibliothèque, ou elle invoqua une fois encore, un démon. Cette fois, elle invoqua sa mère déchue. Cette dernière m’attaqua, alors que Sabin, sombrant plus encore dans les méandres de la folie, lui parlait, tout comme l’aurait fait une enfin de 8 ans…et comme si sa défunte mère était encore de ce monde. Perturbé par les actes de Sabin, je me pris l’attaque de plein fouet, et m’effondrais, grièvement blessé. Je trouvais néanmoins la force de murmurer le nom de Sabin, ce qui l’a mit dans un émoi indescriptible. Elle sembla alors revenir à la raison, de façon progressive, mettant tout d’abord fin à son invocation, avant de se jeter dans mes bras et de m’embrasser, baiser que je lui rendit, sans me rendre compte que je le faisais. Je compris alors qu’elle puisait sa force dans l’amour qu’elle avait sur moi, amour que je croyais réservé aux seuls vivants. En tout cas, pour moi, cela n’évoquait rien de plus qu’une définition, définition qui se résumé à « sentiment purement vivant, source de faiblesse, et acte sexuel ». Mais voilà qu’un démone m’aimait. Moi, le mort ressuscité, pouvait causer un tel sentiment ? Et à Sabin en plus ?
Soit. Elle m’aimait. Mais je ne savais pas ce que c’était…Je décidé néanmoins de la laisser faire, cela apaiserait sa douleur. Nous partîmes donc pour Proncilia, où nous louèrent une chambre. Elle s’allongea alors sur le lit, et je l’y rejoins, essayant de me remémorer toutes les finesses de l’art d’aimer…Dans mes souvenirs, cela était si simple…Nous passâmes une longue nuit, l’un contre l’autre, mon corps épousant ses formes parfaites. Après un long moment d’intense plaisir, nos corps furent un cours instant dans l’osmose la plus parfaite, avant de se détacher. L’amour…ce sentiment que je ne comprenais pas, elle avait réussi à me l’enseigner en une seule nuit. Je sentais que, même mort, je ne pourrais me passer d’elle… Que j’aurais aimé pouvoir dire qu’elle n’était qu’humaine, mais elle était bien plus que cela ! Elle était Sabin. Elle était ma déesse. Jamais je n’oublierais cette nuit !
Revenir en haut Aller en bas
 
ma description
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
L-E-M :: La guilde ! :: Role Play-
Sauter vers: